Mon Premier Voyage De Femme « Libre »… 15° Partie

Je marchais d'un pas léger avec tous ces souvenirs de folie dans la tête pour rejoindre mon appartement. J'avais besoin d'un bon bain et de me restaurer un peu.

A quelques mètres de l'entrée de l'immeuble, un klaxon me fit me retourner. Une grosse BMW était agrée en double file. Cela arrive souvent car c'est difficile de se garer dans le quartier et, les pauvres automobilistes coincés sont alors bloqués et les concerts de klaxon se multiplient à toute heure de la journée.
J'allais taper le code quand je vis un homme descendre de la voiture. C'était Yves.
"Mais qu'est-ce que tu fais là ?"

Yves m'expliqua qu'il me cherchait depuis un bon moment. Il m'avait laissé plusieurs messages sur mon portable qui étaient restés sans réponse.
En vérifiant dans mon sac, je m'aperçus que je l'avais éteint en entrant au cinéma et que les événements qui ont suivi m'avaient un peu perturbés…. J'avais oublié de le reconnecter.
Ce que je fis aussitôt. J'avais effectivement une dizaine de messages dont une de Paul, un de Jeff et le reste, c'était Yves….

Yves me prit par la main et m'entraîna dans sa voiture.
"Monte, je vais t'expliquer…"
Une fois installé, et avant de démarrer, il se rapprocha de moi, me caressa les cuisses et m'embrassa. Son baiser fut bref. Il me regarda d'un œil égrillard en me disant "hummm, ta bouche sent le sperme… Aurais-tu quelque chose à me raconter … ?"
Sans attendre ma réponse, il prend possession de mon sexe et me fouille le cul. Il en ressort, tel un trophée, son doigt tout parfumé des effluves de mes débats ... qu'il pose sur mes lèvres pour que je le suce…
"hummm ma coquine, tu aimes ça…"

Il se remit au volant pour démarrer rapidement.
"Bon, je t'explique en deux mots. Ce soir Claudia et moi devions sortir. Claudia a refusé de sortir sans toi. Du coup, il était impératif que je puisse te joindre. Comme tu ne répondais pas au téléphone, j'ai appelé Paul qui m'a donné ton adresse et voilà.

D'ailleurs, il faut que tu le rappelles car il était inquiet" Simultanément, il composa le numéro de Claudia pour l'avertir qu'il m'avait récupérée et que nous étions sur le chemin de la maison.

J'en profitais pour lire mes SMS.
Jeff me remerciait d'avoir accepté sa proposition. Il me demandait de le rejoindre demain en taxi à 19h à l'atelier du garage dont l'adresse était indiquée.
Paul me demandait de lui donner des nouvelles, ce que je fis par un texto rapide et sans ambiguïté "Ne t'inquiète pas je profite. Tu ne reconnaîtras pas ta femme. Ta salope chérie qui t'aime fort."

Une fois, les "affaires courantes" réglées, Yves se détendit et reposa sa main droite sur ma cuisse. Son œil était coquin.
C'est moi qui revins alors à la charge avec bon nombre de questions…
C'est bien joli tout ça, mais moi, personne ne me demande mon avis, je suis claquée. J'ai pas mangé. Tout ce que je demande, c'est un bon bain, quelque chose à grignoter et un bon lit… pour dormir. J'ai besoin de récupérer. J'ai pas vingt ans !!!!!

Yves prit sa voix douce de charmeur.
"Ne t'inquiète pas ma belle Éva. Je ne te veux que tu bien. On va aller manger un petit morceau et je te promets que l'on ne tardera pas. Je te ramènerai chez toi directement après à moins que tu veuilles venir dormir avec nous…."
Ses doigts doux et agiles me caressaient mon clitoris.
Ses caresses me calmèrent…
"Maintenant, raconte moi ma coquine ce que tu as fait cet après-midi…"

Je me mis à lui raconter mon histoire avec John. Je me régalais, à la fois, à revivre les scènes si torrides qui m'avaient emportée et en même temps de voir comment Yves réagissait à ces événements. Je choisissais des mots imagés et forts. Plus je m'excitais et plus je sentais son excitation monter et plus je sentais ses doigts qui s'agitaient autour de mon clitoris. Le jeu ne dura pas longtemps. Je me sentis me contracter pour vivre une nouvelle jouissance insensée et inconnue.
J'ai beaucoup joui dans ma vie et j'ai chaque fois l'impression de vivre chaque jouissance différemment.
J'emprisonnais la main d'Yves entre mes cuisses trempées pour la faire durer longtemps, longtemps, ….

Lorsque j'ouvre les yeux, je pris conscience que la voiture est arrêtée et qu'Yves est ébahi par le plaisir qui vient de me submerger…
Je ne peux m'empêcher de remarquer que sa braguette est déformée…
Cette image me ramène à une autre image, celle de son beau sexe, gros et tendu.
Je défis ma ceinture et vint poser ma tête contre son épaule pour venir caresser sa bosse, pour prendre la mesure du désir d'Yves…
"Ben mon cochon, je vois que tu aimerais venir au cinéma avec moi…"
"Aurais-tu aimé être à la place de John ?"
Yves déglutit. Il avait du mal à répondre…
Alors que je tentais de défaire les boutons de sa braguette, Yves m'arrêta.
Je le regardais d'un air surpris …
"Non, pas maintenant Éva. Claudia nous attend. Et moi, je ne suis pas une femme…. J'ai besoin de garder des forces…"
Et il redémarra….
Je fus frustrée. Frustrée de ne pas prendre le beau sexe d'Yves frémissant dans ma main pour le caresser et le faire grossir encore davantage,
Frustrée de ne pas l'avoir goûté de mes lèvres, de ma langue, de ma bouche, ….
Frustrée de ne pas lui avoir rendu le plaisir qu'il m'avait donné…

La fin du parcours fut rapide et silencieuse….
Claudia nous attendait en bas de chez elle.
Elle était terriblement sexy. J'en étais jalouse.
Jalouse de la voir plus jeune, plus mince, plus jolie, plus à l'aise que moi.
Jalouse de pouvoir porter des tenues sexy que je n'osais imaginer pouvoir porter….
Je descendis pour lui laisser la place de devant qu'elle refusa.
Nous nous embrassâmes rapidement. Ses lèvres effleurèrent ma bouche. Elle sentait bon la vanille…

Devant son refus, nous nous accordâmes pour monter toutes les deux derrière…
J'observai que, l'air de rien, Yves régla son rétroviseur pour pouvoir nous mater…
Néanmoins, nous nous retrouvâmes serrées l'une contre l'autre au centre de la banquette, comme deux complices…
Claudia me glissa à l'oreille : "Alors, Yves t'a raconté ?"
"Non, justement.
Que de cachotteries… Où refuses-tu d'aller toute seule ?"
Elle se tourna vers moi et fixa ses grands yeux bleus clairs dans les miens.
Son regard et sa main qui se posa sur ma cuisse nue, m'électrisèrent…
"Voilà Éva. Nous t'avons déjà raconté que de temps en temps nous allions dans un club…"
"Oui, mais où veux-tu en venir ? Tu sais que je ne suis pas très favorable à ce genre de lieu et puis tu y a déjà été…"
"Justement, il y a un endroit que j'aimerais te faire découvrir. Je suis sure qu'il te plaira. J'aimerais que tu m'y accompagnes. Après nous partirons."
"Tu veux bien ? Ajouta-t-elle dans un murmure langoureux…. Et en appuyant sa main un peu plus haut sur ma cuisse ….

Je dois avouer que Claudia me troubla si fort que je perdis mon libre arbitre…
Et autant poussée par la curiosité que par la façon dont Claudia me l'a demandée, je ne pouvais dire non.
"Mais écoute, je ne suis pas habillée pour ce genre de lieu !!!"
Claudia me prit dans ses bras et me répondit doucement
"Ne t'inquiète pas. Sur place tu prendras une douche. Je crois que tu en as besoin : tu respires le foutre !!!"
"Et nous demanderons une tenue qui t'ira parfaitement…"
A ces mots, je me sentis rougir. Du coup, je n'osai bouger et restai ainsi contre Claudia le reste du trajet.

Soudain, Yves s'arrêta et se gara : nous étions arrivés.
Yves se plaça entre nous et nous amena au club. Le coquin ne se gêna pas pour nous relever nos robes pour nous peloter les fesses….

Je n'étais pas très fière quand même. J'avais toujours refusé à Paul d'aller avec lui dans un club et voilà qu'aujourd'hui, la "nouvelle Éva" y va, seule, sans son chéri… Que pensera-t-il lorsqu'il l'apprendra ?
Je n'en menais pas large et Claudia dût le sentir car elle me prit la main avec un grand sourire, ce qui eut pour conséquence de faire tomber mes derniers freins.

Une fois entrée, je fus rassurée. L'établissement était nickel.
Les gens présents plutôt bien habillés. Les femmes toutes plus sexy les unes que les autres, mais sans excès, sans vulgarité.
Yves me présenta au couple propriétaire et Claudia m'entraîna au vestiaire.
Elle me tendit une serviette et une robe blanche. Une robe simple de style "vestale". Je ne pouvais en garantir la totale opacité, mais bon…
Voici les douches. Là, tu as un casier pour tes affaires "de ville", c'est comme à la piscine. Prépare-toi. Je t'attends.

Cette douche me fait beaucoup de bien. Je me senti revivre. Elle me redonna des forces qui s'étaient envolées après ma séance au cinéma…
Une fois propre et requinquée, j'ai revêtu la robe, qui avait la forme de poncho : comme un drap avec un trou au milieu pour passer la tête et une corde pour resserrer l'ensemble à la taille. Le tissu était soyeux et agréable à porter. Un peu transparent quand même. Il ne cachait pas grand-chose de mes formes (mes maudites formes ou mon fonds de commerce selon comme on se place, me glisserait à l'oreille mon Paul…). Mais bon, je n'ai pas trop à me plaindre vu le désir que celles-ci génèrent, maintenant que j'ai les yeux enfin ouverts !!!!!

J'étais en train de finir de m'ajuster quand je vis dans la glace les silhouettes de Claudia et d'Yves qui se caressaient en me regardant. Ah les coquins….
Je vins vers eux. Tous les deux vinrent se coller contre moi pour m'embrasser et me caresser. J'étais troublée. Mes jambes flageolaient. Je fermais les yeux. Je ne pouvais qu’accepter ces caresses qui me faisaient du bien…. Surtout celles de Claudia !!! Ces secondes durèrent une éternité.
Puis, Yves et Claudia tournèrent autour de moi pour me féliciter et m'entraînèrent dans la salle à manger pour grignoter un petit morceau.
Yves me dit qu'il avait demandé à la patronne de nous préparer un petit "pique-nique" avec un sourire en coin…
Quelque chose de léger et de réparateur. Et puis avec quelques bulles pour accompagner le tout.

La salle à manger était cossue. L'ambiance était particulière bien sûr. Immédiatement, on pouvait voir qu'il ne s'agissait pas d'un restaurant habituel. Les couples s'embrassaient. Les caresses étaient appuyées et bien ciblées. Des boutons se défaisaient et des seins pointaient…
Chacun épiant les autres pour apprécier les effets réciproquement ressentis…
Pas de gros gueuleton, mais des mets légers….

La maîtresse de maison nous guida vers une grande table à trois places. Yves me positionna sur un côté, dos au mur, entre Claudia et lui.
Nous étions idéalement placés pour observer les autres invités.
Cette ambiance chaude et érotique nous électrisait.
Yves et Claudia avaient chacun une main sur mes cuisses et moi-même, je palpais les cuisses d'Yves et de Claudia. Quelle nouveauté de pouvoir être aussi à l'aise et surtout de me retrouver à caresser la cuisse d'une femme…

La musique était douce. Certains invités se levèrent pour danser. Des danses amoureuses extrêmement sensuelles aux caresses appuyées qui dénudaient délicatement certaines parties du corps de l'autre…
Je dois avouer que j'avais des difficultés à manger tellement j'étais hypnotisée par ces couples.
Je sentais mon vagin se contracter…. Et puis, de sentir les mains et les doigts d'Yves et de Claudia prendre possession de mon sexe m'affolait. Le sexe d'Yves était à nouveau durci par le désir et, sans aller jusqu'à toucher le sexe de Claudia, je pouvais en percevoir sa moiteur extrême.
Le champagne me chauffait les joues. Je pense qu'il n'y avait pas que l'alcool qui me faisait perdre la tête.

Soudain, Yves se leva et m'invita à danser. J'avais les jambes qui flageolaient. Sa main ferme me tira vers la piste. Il me serra contre lui. J'étais tétanisée. Je cherchais des yeux Claudia qui d'un clignement des yeux me fit signe de me laisser aller. Ce que je fis. Je laissais ma tête venir s'appuyer sur le torse d'Yves et je fermais les yeux.

Yves devint rapidement entreprenant. Je sentais son sexe dur contre mon ventre. J'avais envie de le toucher, de le prendre avec ma bouche, mais ici, il n'en était pas question.
Je pouvais sentir les caresses appuyées d'Yves à même la peau nue. J'avais l'impression de m'exposer nue devant tous ces gens. C'était paniquant et grisant à la fois. Je sentis quelque chose tomber à mes pieds… ma ceinture..
Yves avait ses mains plaquées sur mes fesses. Je sentis ses doigts écarter mon sillon… D'un coup, il me retourna pour me plaquer par derrière tout en continuant la danse… Je pouvais sentir son pieu sur mes fesses… Il n'allait quand même pas me baiser ici…
Ses mains me palpaient les seins. Ses doigts me pinçaient les tétons tous durs à me faire crier… Ses mains envahissaient mon corps tout entier. Ses doigts écartaient mes lèvres. Je me sentais honteuse de m'exposer ici et surtout de ressentir autant d'excitation et de désir…

Soudain, quelqu'un vint se plaquer sur moi. J'ouvris les yeux, surprise. C'était Claudia qui m'enserra dans ses bras. J'étais coincée entre Yves et Claudia….
Notre parade amoureuse à trois s'interrompit trop vite à mon goût.

Claudia me prit la main et m'entraîna dans un couloir…
Elle me murmura à l'oreille :
"Éva, j'ai voulu venir avec toi ici. C'est un endroit spécial où je n'ai jamais voulu venir seule. Je sais qu'à deux, nous pourrons nous amuser et prendre beaucoup de plaisir pour une expérience unique. Viens…"

Claudia m'entraîna vers un couloir qui se terminait par un rideau.
Elle ouvrit le rideau et me poussa dans une pièce.
Oh, horreur !!! Où suis-je tombée ? Me dis-je ?
Claudia se plaqua contre moi. Le poids de son corps, la pression de ses seins dans mon dos, me rassurèrent.
Je repris mes esprits.

Cette pièce était un couloir avec une lumière tamisée…
De chaque côté, les murs étaient percés d'ouvertures. Certains trous étaient occupés par un sexe d'homme. Un "glory hole". Paul m'en avait parlé. Je n'aurais jamais cru en voir un en vrai !!!
Un vrai tableau de chasse vivant. Des sexes de toutes tailles, de toutes grosseurs, et de toutes couleurs, qui semblaient s'impatienter.

Claudia me glissa à l'oreille… "Voila mon secret"
La première fois que je suis venue ici, j'étais comme toi. Tous ces sexes m'ont fait peur et j'ai fait demi-tour !!!"
"Seule, je ne serais jamais venue. Merci Éva."
"Nous allons nous amuser !!!"
"Seras-tu capable de retrouver la queue d'Yves ?" me jeta-t-elle comme un défi !!!

Claudia pris un air espiègle qui fit tomber la pression.
"Que penses-tu de celle-la ?"
"Viens la lécher avec moi …"

Tous ces sexes me donnaient le vertige. En même temps, j'étais hypnotisée par toutes ces queues. Une envie soudaine de me les approprier me prit.
Claudia avalait sa première queue…
Une main en titillait déjà une seconde…
Elle me tendit son premier gland déjà violacé…
"A toi ma belle…" me lâcha-t-elle avant de s'approprier la seconde verge déjà prise en main.
Je me jetais à l'eau. Je me concentrais sur cette queue. Je tentais d'imaginer l'homme à qui elle appartenait… J'essayais de retrouver les sensations éprouvées avec la bite d'Yves pour surprendre Claudia avec son défi…
Claudia revint vers moi, et m'enleva "ma" queue pour s'amuser à nouveau avec elle, avant de me la reglisser dans ma bouche. Un instant, nos bouches, nos langues de touchèrent… Mon vagin était contracté à l'extrême…

Claudia se retira avec un nouveau défi.
"Regarde les autres qui s'impatientent..;"
Elle fit le tour du couloir et caressa chaque bite l'une après l'autre…
"Alors, as-tu reconnu Yves ?"
"Allez, viens faire un tour de piste, sinon, nos galants vont s'impatienter…"
En effet certaines queues se rétractaient d'attendre….

Alors, moi aussi, je me surpris à les prendre en main, l'une après l'autre.
Je prenais plaisir à les voir se redresser sous mes caresses…

Claudia me lança un nouveau défi.
"Je te parie que je vais en faire gicler plus que toi !!!!"
Dit-elle en joignant le geste à la parole. Elle en branlait 2 à la fois, une queue dans chaque main, tandis qu'elle en suçait une troisième.

Ne voulant pas être de reste, je me pris au jeu…
"Ça y est !" cria Claudia à sa première giclée.
"Et d'un !!! 1 à 0 !!!"
Je me sentais nulle. Claudia avait pris un peu d'avance.
C'était difficile. Et puis, je dois avouer que j'étais partagée entre le désir de gober toutes ces queues, de prendre du temps avec chacune d'entre elles, de m'appliquer et de les faire juter pour concourir avec Claudia.

J'ai tenté de faire un mixe des deux. Branler activement les queues pendant que je profitais de la troisième avec la bouche. Mais je n'y arrivais pas.

Je décidais de me concentrer sur les queues et de choisir : la qualité à la quantité… Et puis, il fallait que je trouve Yves…
Ce nouveau challenge me plaisait davantage. Je voulais Yves. Je voulais le boire là maintenant… Prendre sa semence à Claudia !!!
Je refis un tour avec davantage d'application. Ça y est !! J'avais enfin trouvé la queue d'Yves. Cette verge était bien dressée et à la bonne hauteur !!! Yves est grand et peu de sexes se trouvaient à ce que j'estimais être à la bonne hauteur.
Celle-la j'allais la boire jusqu'à la dernière goutte. Et compte tenu de l'état d'excitation d'Yves, j'imaginais que cela n'allait pas être trop long….
Je l'avais décalottée. Je m'appliquais à la lécher sur toute la longueur avant de titiller son méat et de recueillir les premières gouttes de sperme qui commençaient à perler…

Sur ce, Claudia, continuait…
"Et de deux !!!... Et de trois… 3 à 0 !!!"

J'avais le vagin tétanisé par l'envie de me faire remplir par cette grosse queue.
J'eus l'idée de me retourner et de placer l'entrée de mon vagin devant le gland élu. Et c'est moi qui imprimais le rythme en avançant et reculant. Jusqu'à ce que je comprenne que cela ne servait à rien. J'ai donc appuyé mes fesses sur la cloison et j'ai attendu que ce pieu me pilonne. Je n'ai pas attendu très longtemps pour jouir… Et quand j'ai senti que la queue allait lâcher sa purée, je me suis éjectée et je me suis retournée pour gober ce gland gluant de mes secrétions et qui m'avait offert ma jouissance… De puissants jets vinrent gicler au fond de ma gorge !!!! J'étais ravie….

" Et de quatre !!! … 4 à 0 !!!"

Après avoir déglutit et avalé ce délicieux nectar, je me rebellais :
"Non, ma belle, 4 à 1 !!!"

Ensuite, je me surpris à branler toutes les queues qui s'offraient à moi avec une énergie inconnue.
Contrairement à Claudia, je préférais me consacrer à une bite, l'une après l'autre…
Je la léchais, la gobais, quelqu'un secondes pour en apprécier les formes, les palpitations, puis très rapidement je la branlais …
"Et de 2… 4 à 2 !!!" criais-je victorieusement à Claudia qui était restée silencieuse depuis quelques temps.

J'eus la surprise de la voir empalée sur un pieu noir et se laisser monter et descendre, les yeux fermés, ses mains se pressant les seins et ses doigts se pinçant les tétons…

" Et de 3… 4 à 3 !!!"

Ma quatrième queue était plus petite, mais très douce. Elle me fit penser à celle de mon Paul. Attendrie, je décidais de la boire elle aussi.
Son sperme était chaud et épais. Trois ou quatre giclées remplirent ma bouche…
Soudain, j'eus la surprise de sentir Claudia près de moi.
Elle vint m'embrasser, tandis que je n'avais pas encore avalé cette dernière offrande. Je me surpris à lui rendre son baiser en partageant la semence recueillie. Claudia fut surprise et semble-t-il enchantée de mon cadeau….

Nous restâmes un moment l'une contre l'autre épuisée de notre exercice exceptionnel, jusqu'à ce que le rideau s'ouvre devant une jeune femme pressée de prendre la suite…

Claudia reprit ma main et me ramena à la salle à manger.

Yves était à sa place à notre table …
Il avait un sourire béat…
Sur le coup, j'eus un doute : était-lui que j'avais sucé avec autant de passion et d'énergie ?
Claudia l'interrogea : "Alors, c'était bien le couloir aux trous ?"
Yves répondit en souriant : "Les filles, c'était terrible. Je ne sais pas laquelle des deux m'a pompé et m'a offert son cul avant de me terminer avec sa bouche, mais, c'était divin…"
Claudia et moi, tombâmes dans les bras l'une de l'autre en éclatant de rire !!!!
Yves nous regarda interrogateur…

Après avoir repris du champagne pour nous laver la bouche et accessoirement nous désaltérer, je retournais au vestiaire pour récupérer mes affaires et Yves me ramena à la maison.
Pendant le trajet, j'étais allongée contre Claudia qui me caressait la poitrine et je m'endormis. Je rêvais que j'étais entourée de sexes géants qui giclaient sur moi…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!